qui suis-je ?

Ma volonté n’est pas de répondre à un besoin, mais bien de susciter chez vous un réel coup de cœur !
portrait claudio dallu ferronnerie et design

Natif de Haute-Savoie, j’ai grandi dans un petit village du Chablais proche du lac Léman, plus entouré d’outils que de livres. À six ans, je fabrique mon premier jouet. Le bricolateur que je suis déjà touchera à beaucoup de matériaux de l’enfance à l’adolescence et sera plus intéressé par la techno que par les dissertations.

D’électricien dans le bâtiment et l’industrie à la vente de véhicules neufs pour un grand constructeur Français, en passant par divers métiers « alimentaires » le manque de créativité me pèse.

En 1987, ma rencontre avec la compagnie de théâtre de rue, Générik Vapeur, marque un tournant dans ma vie. Je deviens leur constructeur/bidulateur/machinateur. En parfait autodidacte, j’apprends la soudure, le travail des résines, du tissu, du bois et bien d’autres matières. Mes compétences en électricité me sont très utiles.

Formateur en art monumental à La Ciotat, pour public en réinsertion, je développe entre 1997 et 2000 mon goût pour les grands objets. Structure métallique, carton, papier, œuvres gonflables en tissu.

En 2001, j’ouvre mon propre atelier de ferronnerie métallerie serrurerie à Vaugines au pied du Luberon. Entre deux chantiers, j’œuvre pour diverses compagnies locales de théâtre à travers des décors toujours plus inventifs et originaux.

En 2013 et 2014, j’ai la chance de collaborer avec mon ami Romuald Moreau « Les Artslumés » pour créer des pièces monumentales commandées par la Fête des Lumières de Lyon.

« Détournages », « déformationnements », « fabricages d’hétéroclitudes » deviennent mon quotidien.
Quand je récupère un objet, cuve, tuyauterie, pièce de machine, je vois immédiatement la nouvelle création qui va émerger.

Fabriquer, créer, voir naître des formes éveiller la surprise avec toujours une touche d’humour, c’est bien cela qui m’anime depuis toujours. Mes enfants le savent bien, eux qui ont joué avec les créations que je leur destinais. Mes petits-enfants le découvrent pour mon plus grand bonheur.

Mon souhait ?
Avoir de l’inspiration jusqu’à expiration !

Retour en haut